Là où cela devient inquiétant, c’est quand le « down » ne veut plus s’en aller !
N’oublions pas que dans une profession comme la nôtre, nos petits clients sont des éponges d’émotions. On ne voudrait surtout pas qu’ils ressentent à notre place des émotions qui ne leur appartiennent pas.Voici les questions à se poser lorsqu’on vit un « down » professionnel qui perdure :
- Est-ce que j’aime encore mon travail comme éducatrice, éducateur ou gestionnaire ?
- Qu’est-ce que j’aime de ce travail (ce qui m’amène vers des « up ») ?
- Qu’est-ce que j’aime le moins dans ce travail (ce qui contribue à mes « down ») ?